Le temps n’y a rien changé. Samedi, le site de l’Abbaye de Stavelot grouillait de monde. C’est une après-midi toute entière consacrée aux spectacles de rues que le Centre culturel de Stavelot avait enfin pu mettre sur pied après l’édition annulée de l’année passée. Et, surprise cette année, « Les P’tits Festarts » s’inscrivait dans la programmation des Vacances Théâtre de Stavelot., les VTS.
Les arts de la rue se jouent par principe dans la rue mais la météo a parfois raison d’eux. Ainsi Rudy Goddin, avec « Turista », spectacle par le Pot au feu Théâtre, retrouve enfin des spectateurs mais... sous le vaste chapiteau des VTS ! Entre deux feux !
Et tout autant pour ce public privé de spectacles pendant trop longtemps.
Clap de fin samedi soir pour « Les P’tits Festarts » mais les VTS, elles, se poursuivent et il est encore possible de se trouver une petite place.
Que demander de plus si ce n’est peut-être un rayon de soleil ?
B. Lousberg
Recommandations
Image
Pétage de plomb sur la scène des VTS
Le succès des Vacances Théâtre de Stavelot ne se dément pas au fil des années. Six spectacles sold out avant même le lever du rideau et plus d'un millier de spectateurs pour le festival de théâtre de rues Les P'tits Festarts, le premier rendez-vous culturel de l'été fait ... chapiteau comble. A mi-chemin de cette 58ème édition, nous sommes allés à la rencontre des comédiens du Théâtre Le Public qui présentent Le Dieu du Carnage, une comédie de Yasmina Reza.
Image
Stavelot: des VTS savoureuses à déguster début juillet
Les VTS - le festival Vacances Théâtre à Stavelot - reviennent, du 5 au 14 juillet prochains, sur le site de l'Abbaye de Stavelot. Une 58ème édition qui promet du grand spectacle, entre théâtre, musique et humour, avec notamment Guillermo Guiz et Antoine Donneaux.
Image
Une pièce qui sensibilise à la pollution lumineuse
Et si les monstres de la nuit n'étaient pas ceux que l'on pense mais bien toutes ces lumières qui éclairent la nuit et nuisent à la biodiversité, au sommeil de l'homme et à l'observation du ciel? Voilà la question de cette pièce de théâtre écrite et jouée par Frédéric Jomaux à Spa.
