Spa fête la Libération sur un air de bal

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Spa fête la Libération sur un air de bal

Ce n’est ni devant un monument aux morts ni dans les rues mais bien sous la Galerie Léopold II dans le parc de 7 heures que les Spadoises et les Spadois se sont retrouvés pour se souvenir de la libération de leur ville par les troupes américaines. C’était le 10 septembre 1944, il ya 75 ans, et  c’est à un bal qu’ils étaient conviés.

Le choix d’un bal ne doit rien au hasard. Il s’inscrit dans la tradition d’une ville qui, après avoir accueilli depuis le XVIIe siècle des bobelins du monde entier venus prendre les eaux et se distraire, deviendra un recreation center au lendemain de la libération pour plus de 10.000 soldats.

Quoi de mieux pour se plonger dans le passé que d’enfiler un costume. Les Spadois ne se sont pas faits priés.

Et, à l’issue de ce bal, comme il ya 75 ans, nul doute que de belles histoires ont commencé mais aussi que des réveils ont été plus douloureux que d’autres. L’histoire ne fait jamais que se répéter.

(B. Lousberg)

 

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Ce n’est ni devant un monument aux morts ni dans les rues mais bien sous la Galerie Léopold II dans le parc de 7 heures que les Spadoises et les Spadois se sont retrouvés pour se souvenir de la libération de leur ville par les troupes américaines. C’était le 10 septembre 1944, il ya 75 ans, et  c’est à un bal qu’ils étaient conviés.

Le choix d’un bal ne doit rien au hasard. Il s’inscrit dans la tradition d’une ville qui, après avoir accueilli depuis le XVIIe siècle des bobelins du monde entier venus prendre les eaux et se distraire, deviendra un recreation center au lendemain de la libération pour plus de 10.000 soldats.

Quoi de mieux pour se plonger dans le passé que d’enfiler un costume. Les Spadois ne se sont pas faits priés.

Et, à l’issue de ce bal, comme il ya 75 ans, nul doute que de belles histoires ont commencé mais aussi que des réveils ont été plus douloureux que d’autres. L’histoire ne fait jamais que se répéter.

(B. Lousberg)

 

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