Tatyana Lebrun: "Les JO de Tokyo, ce serait du bonus"

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Tatyana Lebrun: "Les JO de Tokyo, ce serait du bonus"

La jeune para-nageuse de Stavelot, Tatyana Lebrun, a enfin pu reprendre le chemin des compétitions le week-end passé, à Anvers, où elle a explosé plusieurs de ses chronos personnels sur 100 m nage libre, 50 m nage libre et surtout sur 100 m brasse, passant sur cette distance de 1:23:74 à un nouveau record personnel établi à 1:20:82. Vraiment pas très loin du minima pour les Jeux Paralympiques de Tokyo, établi à 1:19:25! Sachant aussi qu’il y a d’autres critères à remplir avant de rêver d’une sélection officielle. Mais les chronos sont bien là, et Tatyana vient de prouver qu’elle avait le niveau, même pendant cette crise sanitaire qui a perturbé sa préparation. 

Elle est notre invitée ce dimanche soir dans Vision Sports.

"Tokyo n’est pas un iobjectif en soi, mais il est évident que si je me qualifiais j’y irais", sourit la jeune Stavelotaine de 16 ans, qui souffre du syndrome de Larsen, maladie génétique qui touche les os et les articulations. La qualification pourrait se jouer aux prochains championnats d’Europe, ou lors d’autres rendez-vous internationaux au printemps. 

"Vu mon âge et le peu d’entraînements que je peux pour l’instant suivre, je me fixe plutôt Paris en 2024, où là je compte aller pour une médaille", poursuit cette sportive de très haut niveau, qui a le statut de jeune talent au sein de la Ligue Handisport Francophone. 

Tatyana, affiliée au club de Saint-Vith, a heureusement pu s’entraîner pendant le deuxième confinement au Blanc-Gravier au Sart-Tilman, piscine réservée aux élites de la natation francophone.

"Pendant le premier confinement, je suis restée sans nager pendant plus de trois mois. Mais là je vais pouvoir passer à 5 entraînements par semaine encadrée par un préparateur physique, plus de la kiné chaque semaine.

 

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La jeune para-nageuse de Stavelot, Tatyana Lebrun, a enfin pu reprendre le chemin des compétitions le week-end passé, à Anvers, où elle a explosé plusieurs de ses chronos personnels sur 100 m nage libre, 50 m nage libre et surtout sur 100 m brasse, passant sur cette distance de 1:23:74 à un nouveau record personnel établi à 1:20:82. Vraiment pas très loin du minima pour les Jeux Paralympiques de Tokyo, établi à 1:19:25! Sachant aussi qu’il y a d’autres critères à remplir avant de rêver d’une sélection officielle. Mais les chronos sont bien là, et Tatyana vient de prouver qu’elle avait le niveau, même pendant cette crise sanitaire qui a perturbé sa préparation. 

Elle est notre invitée ce dimanche soir dans Vision Sports.

"Tokyo n’est pas un iobjectif en soi, mais il est évident que si je me qualifiais j’y irais", sourit la jeune Stavelotaine de 16 ans, qui souffre du syndrome de Larsen, maladie génétique qui touche les os et les articulations. La qualification pourrait se jouer aux prochains championnats d’Europe, ou lors d’autres rendez-vous internationaux au printemps. 

"Vu mon âge et le peu d’entraînements que je peux pour l’instant suivre, je me fixe plutôt Paris en 2024, où là je compte aller pour une médaille", poursuit cette sportive de très haut niveau, qui a le statut de jeune talent au sein de la Ligue Handisport Francophone. 

Tatyana, affiliée au club de Saint-Vith, a heureusement pu s’entraîner pendant le deuxième confinement au Blanc-Gravier au Sart-Tilman, piscine réservée aux élites de la natation francophone.

"Pendant le premier confinement, je suis restée sans nager pendant plus de trois mois. Mais là je vais pouvoir passer à 5 entraînements par semaine encadrée par un préparateur physique, plus de la kiné chaque semaine.

 

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